Un soutien de poids, dans la tourmente ? C’est en tout cas, ce que laisse penser ce témoignage d’une ex-maîtresse de Dominique Strauss-Kahn, Marie-Victorine M., une consultante française de 38 ans expatriée aux Etats-Unis.
Elle a avoué la semaine dernière au journal suisse L'illustré avoir été l'amante de DSK.
Une relation de quelques mois en 1997 dont elle n’est pas sortie indemne : « Je ne peux pas nier que j’ai aimé cet homme, même s’il m’a énormément blessée… », raconte-t-elle au JDD. Mais pour elle, il n’est pas celui que décrit Nafissatou Diallo et Tristane Banon, ses accusatrices. L’ex-directeur du FMI « n’a jamais été violent avec moi. Ni physiquement, ni verbalement », avait déclaré Marie-Victorine M. à L’Illustré.
Nafissatou Diallo témoigne
DSK a été son « premier grand amour » et elle refuse de l’accabler. Les coups de téléphone incessants de Kenneth Thompson, l’avocat de Nafissatou Diallo, l’ont poussée à prendre une avocate, Gloria Allred.
« Il ne m’a forcée à rien », lui aurait-elle lancé lors d’une conférence téléphonique. Son avocate a également été contactée par le bureau du procureur Cyrus Vance Jr mais, refugiée en France depuis quelques jours, au calme, Marie-Victorine dit ne pas savoir « où en sont les choses ».
« Irez-vous témoigner à New York, si on vous le demande ? », l’interroge le journaliste. Elle répond : « Oui ». Sans ambiguïté.
Face à l’offensive médiatique orchestrée par Kenneth Thompson et sa cliente, Nafissatou Diallo, ce témoignage pourrait se révéler précieux pour la défense de Dominique Strauss-Kahn
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