Après son exploit du côté de Wimbledon, Jo-Wilfried Tsonga croise une nouvelle fois Roger Federer, ce jeudi, pour une place en quarts de finale à Montréal.
Le 29 juin dernier, dans son jardin anglais, l'ex-numéro 1 mondial avait dû, on s'en souvient, rendre les armes après avoir mené deux manches à rien.
Une première pour lui en Grand Chelem. Un revers cruel. Qui lui en rappelle un autre.
Une première pour lui en Grand Chelem. Un revers cruel. Qui lui en rappelle un autre.
«J'ai perdu deux matches (en six confrontations, ndlr) contre lui que je n'aurais jamais dû perdre. Le premier ici, en quarts de finale, en 2009, où je mène 5-1 dans la manche décisive (score final 7-6 [5], 1-6, 7-6 [3]), et le second à Londres, où je me suis fait avoir.»
Avec Roger, on redescend sur terre
Un résultat qui avait consolé le Manceau après un début de saison en demi-teinte. Un stage à Las Vegas dans les jambes - notamment -, et le 16e joueur mondial délivre deux matches solides face à Fabio Fognini (6-4, 7-6 [0]) et Bernard Tomic (6-3, 7-6 [5]) au Québec. De quoi le rassurer avant son rendez-vous avec le Suisse ?
«Avec Roger, on redescend sur terre. Ça reste le meilleur joueur de tous les temps» glisse-t-il. Un refrain connu ?
«Avec Roger, on redescend sur terre. Ça reste le meilleur joueur de tous les temps» glisse-t-il. Un refrain connu ?
Un adversaire qu'on ne présente plus et qui fait ce qu'il faut, sans plus, pour son entrée en lice contre le local Vasek Pospisil, 155e et invité par les organisateurs.
Un adversaire qui n'oublie rien. «A Wimbledon, ça été service-coup droit tout le temps.» Une partition sans fausse note à base de cocktails explosifs. Le trentenaire a digéré. Et se sent prêt pour de nouveaux défis. Jo-Wilfried Tsonga est prévenu.
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