mardi 1 juillet 2014

La kétamine un remède contre la dépression







La kétamine, un anesthésiant vétérinaire souvent consommé de manière illicite pour ses vertu hallucinogènes sous le nom de « Special K », aurait une autre don médical. A faible dose, elle soignerait la dépression selon les conclusions d'une étude menée par les chercheurs du Southwestern Medical Center de l'Université du Texas.



Selon cette étude, administrer une faible dose de kétamine aux personnes souffrant de dépression, permettrait de soigner ce trouble chez près de 6% d'entre elles. Les chercheurs ont aussi constaté que cet anesthésiant était très efficace


Alors que la plupart des antidépresseurs ne commencent à faire effet qu'au bout de 4 à 6 semaines, la kétamine permettrait aux personnes dépressives d'aller mieux en 24 heures !


"Bien que la kétamine et la mémantine aient toutes deux des actions similaires lorsque les neurones sont en action, lorsqu'on se place dans des conditions de repos, la mémantine est moins susceptible de bloquer les communications neuronales que la kétamine. Cette différence fondamentale dans leurs actions pourrait expliquer pourquoi la mémantine n'a pas été efficace en tant qu'antidépresseur rapide", a expliqué le docteur Lisa Monteggia, professeur de neuroscience.


"Le seul problème est que la kétamine a des effets secondaires connus : un sentiment de flottement, une altération de la notion du temps et parfois des troubles de la vision", ajoutent les chercheurs.


Et, compte tenu des risques de détournements de cette substance pour des utilisations festives ou toxicomanes, des recherches cherchent à fabriquer une forme allégée, adaptée au traitement de la dépression. 


"Malgré les limites du potentiel de la kétamine, nous sommes sur le bon chemin" expliquent les chercheurs, "puisque la drogue fonctionne mieux que la mémantine, un traitement pour lutter contre Alzheimer, que les scientifiques ont déjà testé contre la dépression sévère".

lundi 30 juin 2014

Avoir un enfant tard serait un signe de longévité








Selon le magazine "Top Santé", avoir son dernier enfant après 33 ans serait un gage de longévité. Les mères tardives auraient deux fois plus de chance de vivre jusqu'à 95 ans que les autres.



Voilà une bonne nouvelle pour les femmes qui deviennent mères à l'approche de la quarantaine car une grossesse tardive pourrait être un gage de longévité


En effet, des chercheurs de l'Université de Boston ont découvert que les femmes ayant donné naissance à un bébé après 33 ans (mais sans l'aide d'un traitement pour booster la fécondité comme une fécondation in vitro) étaient deux fois plus susceptibles de vivre jusqu'à l'âge de 95 ans


Et que celles qui ont accouché après 40 ans étaient quatre fois plus susceptibles de devenir centenaires.


Pour arriver à cette conclusion ils, ( les chercheurs ) ont étudié les dossiers médicaux de 311 femmes ayant vécu jusqu'à l'âge de 95 ans et les ont comparé avec les dossiers de femmes décédées à un âge moins avancé.


Selon le Professeur Thomas Perls, gériatre au Boston Medical Center, : 


 "Nous croyons que la capacité d'avoir des enfants de façon naturelle à un âge avancé est un signe que le système reproducteur de la femme vieillit lentement, ce qui est un marqueur que l'ensemble de son corps vieillit lentement".


Mais, pour ces derniers, cela ne signifie pas qu'il faut repousser les envies de maternité au-delà de la quarantaine car les fausses couches sont alors plus fréquentes et le risque d'hypertension artérielle est deux fois plus important qu'à 20 ans.


 "Car ce n'est pas la grossesse tardive qui va nous faire vivre plus longtemps mais il s'agit d'une prédisposition génétique qui indique que notre corps vieillit plus lentement et que, par conséquent, il est possible de donner naissance à un enfant plus tard".

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