mardi 23 septembre 2014

le trafic de faux médicaments un trafic rentable









Selon " Le Figaro", le trafic de faux médicaments serait en progression constante. Un contrôle douanier dans quinze ports du continent africain aurait permis de saisir en 9 jours 113 millions de médicaments contrefaits.


De  mai à  juin 2014, la pêche aux faux médicaments ou médicaments contrefaits aurait été bonne. De Cotonou (Bénin) à Dar es-Salaam (Tanzanie), 15 ports du continent africain ont fait l'objet d'un contrôle douanier rigoureux lors de l'opération dénommé «Biyela 2» («encerclement» en zoulou) lancée par l'Organisation mondiale des douanes (OMD) et l'Institut de recherche anticontrefaçon des médicaments (Iracm).

Sur 290 conteneurs inspectés, 40 % contenaient des produits contrefaits, tel que: 
Les antalgiques, les antibiotiques, les anti-inflammatoires, les antituberculeux. Soit environs 113 millions de médicaments contrefaits saisis.

«La plupart des cargaisons provenaient de Chine et d'Inde», a indiqué lundi l'OMD en révélant l'opération. Ces trafics, organisés par de petits groupes de truands ou par des bandes plus organisées, sont en progression continuelle, a précisé Bernard Leroy, directeur de l'Iracm.

Le crime organisé lié aux médicaments a malheureusement de quoi séduire. Le retour sur investissement est «spectaculaire»

Alors que 1000 dollars investis dans le trafic de drogue rapportent 20.000 dollars, le gain dans la contrefaçon de médicaments atteindrait 200.000 à 500.000 euros, selon Bernard Leroy.

En plus, il serait beaucoup plus facile de faire circuler des comprimés multicolores à l'aspect inoffensif que de la drogue, traquée par les polices de nombreux pays

Enfin, les risques liés à ce trafic sont faibles. Les contrôles sont quasi inexistants et, en cas de procès, les peines seraient souvent symboliques.

dimanche 21 septembre 2014

Quels sont les envies des femmes ?










Selon un sondage du magazine "Psychologie.com", la quasi-totalité des femmes dont (97 %) ont le sentiment qu’elles peuvent et osent parler davantage de leurs désirs sexuels, et ce tous critères confondus, quel que soit leur âge, leur niveau d’études ou leur situation de famille. 




Le magazine précise que, 82 % perçoivent cette libération comme un phénomène positif. Les femmes se sentent plus libres d’exprimer leurs désirs, trouvent « facile » de parler de leurs positions préférées avec leur partenaire (70 %), de leurs pratiques (66 %) et de leur jouissance (64 %), et quelques fois de leurs fantasmes (49 %).



La note de satisfaction qu’elles décernent à leurs relations sexuelles semble moyen, mais pas non plus exceptionnelle (7,1 sur 10).



Les femmes sont loin d’atteindre la béatitude de la satiété. Moins 1 sur 5 attribue une note comprise entre 9 et 10 (19 %) à son plaisir au cours de ses rapports, tandis 1 sur 3 se montre critique en lui donnant une note inférieure ou égale à 6 sur 10 (30 %)


Il faut noter que, le fait d’être en couple ou célibataire n’influe pas vraiment sur la note.


Bien que la plus forte proportion de femmes (21 %) qui donnent une note située entre 9 et 10 est mariée, ce sont également elles qui distribuent les plus mauvaises appréciations ( 27 % celles qui attribuent une note entre 4 et 6 sur 10) selon le magazine.



En termes de fréquence, la rareté des rapports sexuels n’est pas la norme. Car, 1 femme sur 2 déclare faire l’amour au moins une fois par semaine (51 %, dont 4 % au moins une fois par jour, 27 % entre deux et cinq fois par semaine et 20 % une fois par semaine).


Car beaucoup souhaiteraient faire l’amour plus souvent1 femme sur 2 aimerait avoir des relations sexuelles plus fréquentes (47 %), et seulement 6 % avouent qu’elles préféreraient faire l’amour moins souvent (contre 46 % qui se montrent satisfaites de la fréquence actuelle de leurs relations sexuelles).




Samuel Eto’o élu président de la Fédération camerounaise de foot

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