Booba parle de sa fille

le Duc de Boulogne comme on l'appelle à récemment  accordé des entretiens à Trace TV et Rap Mag. Le rappeur évoque sa nouvelle vie de père avec sa fille.

Depuis la naissance de sa petite Luna, le compte Instagram de Booba s'est transformer en véritable pouponnière. 

Récemment interrogé par Trace TV, Booba a tenu à rassurer ses fans. Certes, sa vie a forcément changé, mais pas question pour lui de laisser tomber la music .

Il explique : 

« C’est autre chose. Là c’est ma fille et là c’est ma musique. Je ne veux pas l’éduquer avec mes chansons, donc je peux raconter de la merde dans mes chansons, ça ne changera rien ». 

Car, "le Duc de Boulogne" installé à Los Angeles a trouvé la parade pour éviter que sa fille ne comprenne ses punchlines : 

« Déjà, je lui parlerai pas français, comme ça elle ne comprendra pas mes paroles. Comme ça, c’est réglé ».

Quant à son nouveau rôle de papa poule, le rappeur avoue simplement : 

« C’est très bien. C’est que du bonheur. Ça change, c’est un autre truc, c’est différent. C’est important, c’est bien ».

Insolite: Une collégienne Japonaise tue et décapite une camarade de classe

Selon l'agence de presse Kyodo, une  adolescente Japonaise soupçonnée d'avoir tué et dépecé une camarade de classe a été arrêtée dimanche, rapportent les médias japonais ce lundi. 

La jeune fille, dont le nom n'a pas été rendu public, aurait avoué avoir frappé à plusieurs reprises sa camarade à la tête avec un objet contondant, puis de l'avoir étranglée. 

Elle aurait ensuite décapité sa victime et coupé sa main gauche.

Les faits se sont déroulés dans la ville de Sasebo dans la préfecture de Nagasaki (ouest du Japon). Le corps de la jeune Aiwa Matsuo a été découvert au domicile de la jeune meutrière qui vivait seule, précisent les  journaux et télévisions nippones. 

Ce sont les parents d'Aiwa Matsuo qui ont alerté la police samedi soir, soucieux de ne pas voir rentrer leur fille.

Dans la même ville de Sasebo, une collégienne avait poignardé à mort une camarade de classe en 2004, ce qui avait conduit les établissements scolaires et les autorités à requérir plus de vigilance de la part des enseignants et assistants sociaux.