Ivory Coast, fourth largest producer of rubber in the world

 

The Ivory Coast rubber industry is doing well, Africa's leading producer, the country is now ranked 4th in the world. Given the production of rubber in 2020 was around 950,000 tonnes, an increase of 21% compared to 2019.

 

Following the launch of an ambitious development plan for the sector in the amount of 40 million euros per year for a period of 9 years. This required 110,000 hectares of rubber trees in order to open up new opportunities in order to revitalize the sector.  

 

The country has around 170,000 producers who operate around 500,000 hectares of plantations. 

 

With an estimated income of around CFAF 2,780.53 per kilo, many producers are abandoning cocoa cultivation to turn to the cultivation of rubber, which they deem advantageous.  

 

However, the Ivorian planters as elsewhere quickly became disillusioned because thousands of hectares of plantations having reached maturity could not sell their products because the supply was greater than the demand, which led to the fall in prices.  

 

 

La Côte d'Ivoire quatrième producteur mondial de caoutchouc

 

La filière hévéa Côte d'Ivoire se porte bien, premier producteur d'Afrique, le pays est classé désormais au 4e rang mondial. Vu la production du caoutchouc au cours de l'année 2020 avoisinait les 950 000 tonnes soit une hausse de 21% par rapport à l'année 2019.

 

Suite au lancement d'un ambitieux plan de développement de la filière d'un montant de 40 millions d'euros par an pour une période de 9 ans. Cela à nécessité 110 000 hectares d'hévéas afin d'ouvrir de nouvelles opportunités dans le but de redynamiser le secteur.

La pays compte environs 170 000 producteurs qui exploitent à peu près 500 000 hectares de plantations. 

Les premières années n'ont pas été facile pour les acteurs de cette filière portée par des cours mondiaux de caoutchouc bien élevés d'autant plus que l'hévéa produit 10 mois/12. 

Avec un revenu estimé à environ 2.780,53 FCFA le kilo beaucoup de producteurs abandonnent la culture du cacao pour se tourner vers la culture de l'hévéa qu'ils jugent avantageux.

Cependant, les planteurs ivoiriens comme ailleurs ont vite déchanté car des milliers d'hectares de plantations étant arrivés en maturités n'ont pas pu vendre leurs produits car l'offre était supérieur à la demande, ce qui entraina la chute des cours.