vendredi 22 juillet 2011

François Hollande devancerait Sarkozy

                                                                                     



Le socialiste François Hollande battrait largement le président sortant Nicolas Sarkozy au second tour de la présidentielle française de 2012, selon un sondage Ifop-France-Soir publié vendredi.

Trois scénarios étaient proposés aux sondés.

Au premier tour, François Hollande devancerait le président sortant (28% et 23%), tout comme Martine Aubry (25% et 23,5%). En revanche, dans l'éventualité d'une candidature de Ségolène Royal, la socialiste n'obtiendrait que 16% des suffrages, laissant Nicolas Sarkozy (25%) affronter Marine Le Pen (20,5%) au second tour.

Au second tour, François Hollande l'emporterait largement (57% contre 43%), Martine Aubry l'emporterait également avec 53% contre 47% à Nicolas Sarkozy.

Sondage réalisé du 19 et 21 juillet par questionnaire autoadministré en ligne auprès d'un échantillon national représentatif de 948 personnes inscrites sur les listes électorales extrait d'un échantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

L'aide à la Grèce coûtera 15 milliards d'euros à la France

                                                                                    



Le nouveau plan de sauvetage de la Grèce aura comme «conséquence indirecte» pour la France une augmentation de son endettement d'environ 15 milliards d'euros d'ici 2014, selon François Fillon.

L'endettement français sera accru d'environ 15 milliards d'euros d'ici à 2014 en raison de la mise en oeuvre du plan d'aide à la Grèce conçue jeudi soir, a déclaré vendredi François Fillon. Ces décisions n'ont pas de coût direct pour nos finances publiques», a assuré le premier ministre, à l'issue d'une réunion à Matignon avec les principaux responsables du Parlement sur les suites du sommet de la zone euro tenu jeudi à Bruxelles. Et d'ajouter : «Elles ont un coût indirect puisque nous allons participer à travers des garanties apportées sur les prêts qui seront consentis par le fonds de stabilité européen à la Grèce». 

Le premier ministre a qualifié en outre l'accord des dirigeants européens sur un plan de sauvetage de la Grèce d'étape absolument décisive pour la zone euro. 

Cet accroissement de l'endettement pourrait mettre à mal l'objectif du gouvernement de commencer à faire baisser le ratio de dette publique de la France à partir de 2013. La dette publique de la France s'élevait à la fin du premier trimestre (dernier chiffre disponible) à 1646,1 milliards d'euros, soit 84,5% du Produit intérieur brut (PIB).

L'accord de Bruxelles, qui doit beaucoup aux efforts du couple franco-allemand, pemettra d'éviter une faillite de certains pays de la zone euro, a déclaré le premier ministre après avoir expliqué les décisions prises jeudi aux parlementaires français à Matignon. 

La «règle d'or» qui inscrirait la nécessité de réduire les déficits dans la Constitution française est plus que jamais d'actualité, a encore dit le chef du gouvernement. L'objectif de la France de ramener son déficit publique en dessous de 3% du Produit intérieur brut (PIB) en 2013 «doit être atteint», a également indiqué le premier ministre. «Les engagements que nous avons pris doivent être respectés», a-t-il ajouté.

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