vendredi 8 juillet 2011

Leonardo : Pas d'accord avec le PSG

                                                                             


Leonardo reviendra peut-être au Paris Saint-Germain. Un jour. Mais ce ne sera pas aujourd'hui. Lors d'une conférence de presse organisée à Milan, l'ancien entraîneur de l'Inter a confirmé qu'il était bel et bien en relation avec les repreneurs du club de la capitale, mais que les deux parties étaient très loin d'un accord. "J'ai commencé à discuter il y a quatre jours" avec les nouveaux patrons du PSG, a-t-il révélé. Avant ? Rien. Ou peu. "J'avait déjà été appelé plusieurs fois par le PSG, notamment en 2004. J'ai reçu un nouvel appel, une invitation à discuter d'un projet." Intéressé, Leonardo en a parlé à Massimo Moratti qui, grand seigneur, l'a laissé décider dans la sérénité.
 
Dans une conférence de presse organisée à Milan, Leonardo a expliqué qu'il n'avait pas encore trouvé d'accord avec le PSG. - 2 



       

S'il n'a pas communiqué avant et joué les Arlésiennes depuis quelques semaines, c'est parce qu'il n'était pas en position de faire autrement : "Le rachat du PSG a été officiel le 30 juin. Il ne pouvait rien se passer avant et c'est pour cela que je n'ai pas communiqué sur la situation." Aujourd'hui, l'ancien international brésilien se retrouve dans le flou le plus total. Jeudi face à la presse, il a semblé chercher à mettre la pression sur le PSG, désireux de ne pas se retrouver le bec dans l'eau à la fin de l'été, lui qui a abandonné son poste d'entraîneur de l'Inter pour un emploi jusqu'ici virtuel dans un club qui n'a "pas de très bons résultats (...) depuis quinze ans".
 
Pas de folies

Attendu par les supporters du Paris Saint-Germain comme l'homme providentiel, Leonardo a quelque peu refroidi les ardeurs des fidèles du club avant même d'en être de nouveau un membre éminent. "Ce que je peux vous dire, c'est qu'il y a pas de folies de prévues comme on le dit. J'ai très peu à dire sur le PSG, je suis parti de Paris il y a 14 ans, j'ai une vie à Milan. J'ai été très bien au PSG. Mais ma vérité, c'est qu'il y a peu à dire sur le Paris Saint-Germain. Je ne connais pas la réalité du club, je sais pas qui ils veulent acheter, je ne connais pas les joueurs...", a-t-il lancé avant d'assurer qu'il allait rencontrer de nouveau les dirigeants du PSG. "Aujourd'hui, je n'exclus pas de commencer la saison avec le PSG le 6 août. Mais je n'exclus pas non plus de ne pas y être."

Aérien : mise en garde contre des bombes sous la peau

                                                                                      


Tout en niant l'existence d'une menace précise, les autorités américaines de la sécurité ont averti les compagnies aériennes des nouvelles techniques qui pourraient à l'avenir être utilisées pour faire exploser des avions.

«Rien n'indique un danger imminent», assurent les autorités américaines. Elles n'en ont pas moins mis en garde les compagnies aériennes et des pays tiers sur la possibilité d'une nouvelle forme de terrorisme aérien : des bombes implantées sous la peau de passagers.

Citant des responsables de l'Administration de la sécurité dans les transports (TSA), la presse américaine s'est fait l'écho de projets de terroristes «d'opérer des personnes pour leur implanter des matières explosives», dans le but de contourner les contrôles de sécurité aux aéroports. Ces informations, a notamment rapporté le Los Angeles Tim es, ont été transmises par la TSA aux compagnies aériennes.

Selon le quotidien, elles pourraient mener à des mesures de contrôle supplémentaires dans les aéroports américains. Car, de l'avis d'experts, ce nouveau type de bombe pourrait échapper aux scanners en service à l'heure actuelle, les scanners corporels eux-mêmes n'allant pas au-delà de l'épiderme.

Des tests sur la peau Parmi les nouvelles procédures de sécurité envisagées, les agents pourraient avoir recours plus systématiquement à des «prélèvements sur la peau à l'aide de cotons-tiges» pour détecter d'éventuelles traces d'explosif laissées au moment de leur implantation. Aujourd'hui, note le journal, ces tests ne sont réalisés qu'auprès d'une minorité de passagers.

Ces mesures ne sont en rien liées à «un danger imminent ou spécifique», a tenté de nuancer le porte-parole de la Maison-Blanche, Jay Carney. La TSA et le département de la Sécurité intérieure ont selon lui tout au plus offert «un large aperçu aux compagnies aériennes quant à de récentes informations faisant état de la volonté de terroristes de cibler le secteur aérien».

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