mercredi 31 août 2011

Tensions autour d'une nouvelle mosquée à Paris

                                                                                   




Les responsables des associations cultuelles n'ont certes pas claqué la porte, mais les négociations visant à transformer une ancienne caserne de sapeurs-pompiers en mosquée pour les musulmans des quartiers nord de Paris virent au casse-tête pour les représentants de l'État.

Alors que les fidèles célébraient mardi la fête de l'Aïd-el-Fitr marquant la fin du ramadan, les chefs religieux étaient une nouvelle fois en discret conciliabule dans l'après-midi. 

Objectif: trouver coûte que coûte, comme le résume benoîtement l'un des protagonistes, «une ébauche de début de solution » afin que les nombreux fidèles qui occupaient la voie publique dans le quartier de Barbès à l'occasion des grandes prières du vendredi après-midi migrent vers un lieu de culte digne de ce nom.

Série de doléances 

Autour de la table, se trouvaient notamment le cheikh Salah Hamza, imam de la mosquée de rue Myrha dans le XVIIIe arrondissement, son homologue Moussa Niambélé, l'imam de la salle de prières Al-Fath installée rue Polonceau et le grand recteur de la Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur

Censé endosser le difficile rôle de médiateur, ce dernier se livre ses jours-ci à un véritable numéro d'équilibriste florentin

Tenaillé par les desiderata des chefs religieux, il doit composer avec le calendrier serré des pouvoirs publics, pour qui les jours sont comptés d'ici au 15 septembre prochain

Au-delà de cette date butoir en effet, comme l'a rappelé le Conseil d'État, la loi de 1905 sur la séparation entre l'Église et l'État devra être strictement observée

«Les prières de rue, c'est quelque chose qui n'est pas acceptable, directement attentatoire au principe de la laïcité, et il faudra que ça cesse», a martelé début août Claude Guéant.

Depuis des semaines, la Préfecture de police s'était mise en quête d'un lieu d'accueil idoine. Évoquant la caserne désaffectée depuis quatre ans à la porte de Clignancourt, le ministre de l'Intérieur avait alors précisé: 

«Il est convenu que le 16 septembre, ces locaux entreront en service.»

Cela était sans compter avec une série de doléances émises par l'imam des pratiquants maghrébins de la mosquée Khalid Ibn Walid de la rue Myrha et celui des adeptes de confréries africaines Tijâniyya ou Mourides, qui fréquentent la rue Polonceau

Au nom de la sacralité du futur lieu de culte, ces derniers, qui bénéficient de deux salles d'une superficie respective de 1.200 et 800 m2 et pouvant accueillir 2.700 fidèles, souhaitent en fait un seul lieu de culte pour la prière du vendredi, comme l'exigent les règles de l'islam.

Pour éviter les tensions, un imam «neutre», désigné par la Grande Mosquée de Paris, pourrait diriger la prière. Les musulmans de Barbès demandent aussi la création d'un lieu séparé pour l'ablution, mais aussi pour la prière des femmes

L'idée de créer un poste de gardien a aussi été évoquée afin de protéger ces dernières d'éventuels troubles émanant du foyer des sans-abri situé à côté. 

«Les fidèles qui viennent en voiture veulent aussi des places de parking, précise Dalil Boubakeur. Ils entendent par ailleurs qu'un effort soit consenti en matière de chauffage en hiver car, rappelons-le, il ne s'agit plus de mettre des camions dans cet ancien garage désaffecté mais des êtres humains dans un lieu normalisé…»

Un loyer jugé trop élevé 

En outre, l'imam Moussa Niambélé juge aussi « élevé » le loyer de 10.000 euros par an pour une occupation des lieux uniquement le vendredi

Outre une facture plus légère et une utilisation des lieux sept jours sur sept, les chefs religieux veulent obtenir des autorités l'«assurance écrite » de pouvoir reloger leurs fidèles dans un nouveau lieu de culte dans Paris intra-muros à l'issue de ce bail transitoire qui devrait prendre fin en 2013.

D'ici là, l'Institut des cultures d'islam devrait offrir dans le quartier de la Goutte d'Or quelque 2.500 places supplémentaires aux fidèles

«Nous voulons trouver un accord dans les quatre ou cinq jours prochains, à l'occasion d'une ultime réunion à la Préfecture de police, confiait mardi au Figaro Dalil Boubakeur

Chacun a intérêt à ce que les tractations aboutissent car, pour 50.000 raisons, les prières ne peuvent, ni ne doivent plus être dans la rue.» Faute d'accord, ce serait en effet à la police de faire respecter l'ordre républicain.

Le pauvre oncle !


Affaire Bettencourt: l'ex-juge met en cause Nicolas Sarkozy

                                                                                   



Une infimière de Liliane Bettencourt aurait affirmé à la greffière de la juge Isabelle Prévost-Desprez avoir «vu des remises d'espèces à Sarkozy» en 2007. L'Élysée dément et dénonce des «boules puantes».



Le volet politique de l'affaire Bettencourt va-t-il être relancé ? Libération fait aujourd'hui sa Une sur les révélations de la juge Isabelle Prévost-Desprez,anciennement à la tête de l'affaire. 

Cette dernière affirme dans un livre à paraître jeudi qu'une témoin aurait vu Nicolas Sarkozy se faire remettre d'importantes sommes d'argent en espèce lors de sa campagne présidentielle de 2007.

«L'infimière de Liliane Bettencourt a confié à ma greffière, après son audition par moi : 'j'ai vu des remises d'espèces à Sarkozy, mais je ne pouvais pas le dire sur procès-verbal'», explique la juge aux journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme pour leur ouvrage «Sarko m'a tuer».

Isabelle Prévost-Desprez se dit également «frappée par la peur des témoins» dans cette affaire, qui craignaient de «parler sur procès-verbal à propos de Sarkozy».

La remise d'espèce à des personnalités politiques avait été évoquée sur PV puis publiquement par Claire Thibout, la comptable de la milliardaire, l'an passé

«Beaucoup de personnes politiques ont reçu de l'argent. Je ne serai pas exhautive et ne veux pas faire de la délation», déclarait-elle aux enquêteurs. 


La comptable avait par la suite déclaré qu'elle n'avait «jamais dit que des enveloppes étaient remises régulièrement à M. Sarkozy.»

L'Élysée dénonce des «boules puantes»


Du côté de l'Élysée, on dément fermement les informations de la juge Prévost-Desprez, qui a été déchargée de l'affaire Bettencourt à l'automne 2010 à cause de ses relations haineuses avec le procureur de Nanterre, Philippe Courroye

«Ce sont des allégations scandaleuses, infondées et mensongères», affirme-t-on. Un proche de Nicolas Sarkozy dénonce des «boules puantes»

«Si cette infirmière dit vrai, alors la justice se devait d'ouvrir une enquête. La magistrate avait le devoir de ne pas garder cette information pour elle», explique-t-il à Libération

«Et là, comme par hasard, l'accusation ressort un an et demi après les faits. Qu'est-ce-que cela veut dire ? C'est une atteinte grave à la déontologie de magistrat.»

Les proches d'Isabelle Prévost-Desprez s'attendent à des poursuites disciplinaires à l'égard de la juge, qui avait demandé à relire ses déclarations avant leur publication dans le livre des journalistes du Monde

«C'est donc une accusation grave, précise et réfléchie qu'elle porte contre Nicolas Sarkozy», écrit Libération.

Le parquet de Bordeaux, désormais en charge de l'affaire Bettencourt, pourrait décider d'entendre Isabelle Prévost-Desprez, sa greffière, et l'infimière de la milliardaire

«Mais rien ne serait encore prouvé au plan pénal», explique Libération. «Ce serait parole contre parole. Celle d'une infimière, relayée par une greffière et une magistrate, contre celle du chef de l'État et de ses conseils.»

Les faxs entre la brigade financière et le parquet de Nanterre

Claire Thibout, la comptable de Liliane Bettencourt, s'est également exprimée dans le livre «Sarko m'a tuer»

Elle y raconte les pressions policières qu'elle aurait reçu après qu'elle ait affirmé que Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Lilliane Bettencourt, avait remis à Eric Woerth 150.000 euros en liquide pour le financement de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, selon des extraits publiés par L'Express..

Peu après la publication de ces révélations par Mediapart, la comptable reçoit la visite de la brigade financière alors qu'elle était partie se réfugier chez ses cousins dans le Gard

«Ils m'ont fait peur, ils étaient quatre hommes et une femme et ont surgi par la cuisine plutôt que par l'entrée principale. Ils ont dit à mes cousins de «dégager», puis m'ont lancé : «Vous savez pourquoi on vient.» [...] Les policiers voulaient me faire dire que Mediapart était un journal de voyous.»

La comptable leur déclare que Sarkozy «pourrait avoir touché de l'argent, car, comme je l'ai toujours dit, je n'avais pas été témoin direct d'une remise en espèces à un politique.»

Mais selon Claire Thibout, les policiers attendaient d'elle qu'elle retire toutes ses déclarations à propos de Nicolas Sarkozy

Les policiers «subissaient eux-mêmes une incroyable pression. A chaque feuillet tapé, l'un des quatre policiers faxait le PV à sa hiérarchie et au parquet de Nanterre, qui rappelait pour faire changer tel ou tel mot», explique Claire Thibout.

Drake reste en dehors de la guerre entre Jay-z et Lil Wayne-Birdman

                                                                           


Le rappeur/chanteur canadien Drake ne veut pas prendre partie dans la guerre qui oppose les membres son label YMCB, Lil Wayne et Birdman à Jay-z.


 Il y a quelques jours, Bossip France avait publié toute l’histoire sur son site. Lil Wayne avait répondu aux attaques  de Jay-z à l’encontre de Baby (Birdman) dans la chanson ‘Im Good’
Drake a fait preuve d’intelligence en ne se mêlant pas de la brouille. Le rappeur a posé sur la chanson où Lil Wayne disait qu’il allait kidnapper Beyoncé et demander une rançon à Jay-z, il s’explique:
"J’avais un beat et j’ai posé ma voix dessus… Quelque soit ce que vous entendez, il faut demander à l’intéressé. J’ai juste fait ce que je savais faire. Je suis sur le  morceau, on m’a proposé un beat et j’ai rappé dessus et ensuite j’ai entendu le titre en entier une fois qu’il était fini. A la fin du compte, le rap est un art indivduel. Vous vous exprimez et tout ce que vous voulez dire vous le dites… mais je pense que ça c’est  pour Lil Wayne."
Jadakiss qui était aussi sur le morceau s’est exprimé en ces mots :
"Bande de suceurs de bite, allez vous en…. On m’a juste envoyé le beat avec aucune parole dessus et en plus j’ai enregistré mon couplet il y a trois mois! Quand j’ai un problème avec un rappeur et je cite son nom sans hésitation, vous devriez le savoir."



mardi 30 août 2011

Negro Sans Cerveau: Le père de Beyonce volait de l’argent ?

                                                                             



Selon le site d’informations TMZ, la sexy Beyoncé aurait viré son père, Mathew Knowles car ce dernier  volait l’argent des tournées. Dans un document légal, Matthew Knowles  affirme que Live Nation aurait tourné la tête de sa fille en lui disant qu’il se serait servi dans la caisse lors de du dernier concert.

Les avocats de Beyonce ont fait un audit des comptes de la société et sont arrivés à la conclusion que le Negro sans cerveau volait bien de l’argent de l’entreprise de management
D’où Beyoncé Knowles-Carter  s’est séparée de son père. Le paternel persiste sur le fait que Beyoncé aurait embauché un ancien auditeur de Live Nation.

L’homme insiste « les accusations de vol de Live Nation sont fausses ». Il voudrait à présent qu’un juge lui donne l’autorisation de prendre des dépositions de plusieurs personnes à Live à Nation pour savoir exactement comment ils sont arrivés à la conclusion qu’il était un voleur.

Dans un récent documentaire sur le  dernier album de Beyonce « 4 », la star parle de la rupture avec son père très sainement. Disant qu’il était temps pour eux de se séparer.

"J’ai été dirigée par mon père depuis mes débuts et, un vraiment changement signifiait me séparer de lui.  J’avais peur mais cela m’a aussi renforcé et je n’allais pas laisser la peur me guider. C’était un risque pour moi de me séparer des miens. Etant une femme, je voulais être un exemple et montrer qu’il était possible pour nous autres d’avoir notre propre business et de posséder notre propre label. Parfois on n’atteint pas les étoiles, parfois on est satisfait par ce que les gens nous disent et moi je ne suis pas comme ça".

L’ONCLE D’OBAMA ARRÊTÉ POUR CONDUITE EN ÉTAT D’IVRESSE

                                                                                   


     Le Président des Etats-Unis n’avait pas besoin de ça. En plein "ouragan" économique pour Barack         Obama, son oncle boit et conduit... Very bad idea!


Barack Obama, tout président qu’il est, n’échappe pas au poids familial. Un certain Onyango Obama, oncle de Barack, a été pris en flagrant délit de grillage de stop, mercredi dernier près de Boston, dans le Massachusetts. A 67 ans, Uncle’ Onyango avait semble-t-il abusé de la boisson.

Interpellé par la police, l’intéressé aurait soutenu n’avoir bu «que deux bières», alors qu’il avait «les yeux rouges, une voix d’ivrogne et une très forte odeur d’alcool», selon le rapport des forces de l’ordre locales

Comble de l’ironie: non seulement le tonton de Barack a été inculpé pour conduite en état d’ébriété, mais il a en plus été placé en détention par le service d’immigration, pour visa non valide!

Autorisé à passer un coup de fil à sa famille, l’oncle aurait timidement déclaré, «je pense que je vais appeler la Maison Blanche…»

Celle-ci aurait confirmé aux autorités qu’il s’agissait bien d’un membre de la famille présidentielle d’origine Kényane, comme le père du président. Tout n’est pourtant pas encore rentré dans l’ordre, puisque l’homme risquerait l’expulsion du paysIl y en a un qui doit maudire son oncle!



lundi 29 août 2011

Le niveau de vie des plus aisés augmente, celui des plus modestes baisse, la pauvreté s’accroît

                                                                                 



La crise économique a eu un impact sur le niveau de vie de "l’ensemble des ménages" français, mais "ce sont les plus modestes" d'entre eux qui ont été "les plus touchés", avance l'Insee dans une étude publiée mardi 30 août.
Cette "photographie" montre en l'occurrence que le niveau de vie des plus modestes a baissé entre 2008 et 2009, alors que, dans le même temps, celui des ménages les plus aisés a continué d'augmenter, même si, pour certains d'entre eux, c'est moins rapidement que les années précédentes.
Elle témoigne aussi d'une progression du nombre de personnes pauvres (+ 337 000, à 8,17 millions) et de la proportion de personnes ayant un niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté (+ 0,5 point).
Le niveau de vie d'un ménage correspond à son revenu disponible (somme des revenus d’activité, retraites, indemnités de chômage, revenus du patrimoine et financiers et prestations sociales, moins les impôts directs) divisé par le nombre d’"unités de consommation" figurant dans le ménage.
Une unité de consommation est attribuée au premier adulte du ménage, 0,5 unité autres personnes de 14 ans ou plus et 0,3 unité aux enfants de moins de 14 ans. Le niveau de vie est donc le même pour toutes les personnes d’un même ménage.
Niveau de vie médian
En 2008, la population française se coupait en deux autour d'un niveau de vie de 19 000 euros par an. En 2009 la ligne de partage se situe à 19 080 euros (soit 1 590 euros par mois). En euros constants, la progression est de 0,4 %.
Niveau de vie des Français les plus modestes
Entre 2005 et 2008, les quatre premiers déciles de la population, c'est-à-dire les 40 % de personnes les plus modestes, avaient connu une progression annuelle moyenne de leur niveau de vie d’environ + 2 %.
L'année 2009 a marqué un coup d'arrêt : "en euros constants, les quatre premiers déciles diminuent", indique l'Insee, soulignant que la baisse est "plus marquée pour le premier décile".
Le niveau de vie des 10 % des personnes les plus modestes a ainsi reculé de 1,1 %, devant "inférieur à 10 410 euros annuels".
L'Insee attribue pour une part cette situation à la "hausse du nombre de chômeurs dans le bas de la distribution des niveaux de vie".
L'institut de statistiques souligne, en creux, que cette baisse de niveau de vie aurait pu être pire encore. Il souligne, à ce titre, que les versements de prestations consécutifs à la perte de revenus du travail ont "atténué quelque peu la baisse des niveaux de vie", mais, surtout, que les mesures d’aides ponctuelles, sociales et fiscales, prises par le gouvernement en 2009, ont également joué un rôle d'amortisseurs pour les ménages modestes.
Niveau de vie des Français les plus aisés
Pour les personnes se situant au niveau de vie médian et au-delà, le niveau de vie a en revanche augmenté. L'Insee souligne notamment que, pour les 10 % les plus aisés, le niveau de vie était "supérieur à 35 840 euros annuels" en 2009, soit une augmentation de 0,7 % par rapport à 2008.
L'étude souligne néanmoins que cela "marque un ralentissement dans la progression de ce décile" par rapport aux années précédentes.
Pauvreté
Entre 2008 et 2009, le nombre de personnes dites pauvres est passé de 7,83 millions à 8,17 millions
Cela signifie qu'elles se situent au-dessous du seuil de pauvreté, équivalent à 60 % du niveau de vie médian, soit 954 euros par mois en 2009.
Le taux de pauvreté, c'est-à-dire la proportion de Français vivant au-dessous de ce seuil atteignait 13,5 % fin 2009, contre 13 % un an plus tôt.
On revient ainsi à un niveau voisin de celui de 2007 (13,4 %).
L'Insee ajoute que, sur les 8,2 millions de personnes pauvres, 4,5 millions vivent en réalité avec pas plus de 773 euros par mois
L'institut rappelle que le socle du RSA pour une personne seule est de 455 euros.

Beyoncé enceinte

                                                                             




Avec l’annonce de sa grossesse, Beyoncé a marqué la dernière édition des MTV VMA. Pour son ex-collègue des Destiny’s Child, Kelly Rowland, Beyoncé sera au top dans le rôle de mère.
Le bébé de Beyoncé et Jay-Z n’était pas un secret pour tout le monde. D’après un proche cité par Us Weekly, la chanteuse en serait déjà à son troisième mois de grossesse
Elle attendait le bon moment pour l’annoncer, pas nécessairement les MTV Video Music Awards, mais l’émotion était si forte et la joie si intense qu’elle n’a pas pu se retenir. Pareil pour Jay-Z, qui « plane sur un nuage », selon un proche.
Kelly Rowland était au courant depuis quelque temps déjà, mais elle n’a pas manqué de féliciter celle qu’elle considère comme sa sœur

Elle en a profité pour jouer les prophétesses et nous décrire Beyoncé dans le rôle de mère : « Ce sera une maman extraordinaire parce qu’elle a toujours eu l’instinct maternel, estime Kelly Rowland. Je pense qu’elle tient beaucoup de sa mère et ce sera quelque chose de naturel pour elle »

Sur Twitter, quelques personnalités ont elles aussi réagi à l’annonce de la grossesse de Beyoncé

Une autre Destiny’s Child, Michelle Williams, se dit « hyper heureuse ». Plus formel, Chris Brown s’est fendu d’un « Félicitations pour le bébé à B (comme Beyoncé, NDLR) et Jay ».

Enfin, Solange Knowles, la sœur de Beyoncé, se réjouit elle aussi de l’arrivée d’un nouveau membre dans la famille. Avec un smiley long comme le bras.

Elle écrit ensuite quelques mots : « Je ne pourrais pas être plus fière. J’ai les larmes aux yeux. Personne ne le mérite plus. Ça n’arrive pas par accident. Ça n’arrive pas par chance ». Elle avait hâte d’être tata, quoi.

Trois enfants de Kadhafi et son épouse réfugiés en Algérie

                                                                                                 



L'épouse du colonel Mouammar Kadhafi et trois enfants de l'ex-chef de la révolution libyenne sont entrés lundi 29 août en territoire algérien, a annoncé le ministère algérien des Affaires étrangères.

"L'épouse de Mouammar El Gueddafi, Safia, sa fille Aïcha, ses fils Hannibal et Mohamed, accompagnés de leurs enfants sont entrés en Algérie à 08h45 locales par la frontière algéro-libyenne", a déclaré le ministère dans un communiqué diffusé par l'agence APS, sans fournir d'indication sur l'ancien homme fort libyen.

"Cette information a été portée à la connaissance du secrétaire général des Nations unies, du président du Conseil de sécurité et de Mahmoud Jibril, président du Conseil exécutif du Conseil national de transition libyen", a ajouté le ministère dans le communiqué.

A moins de 48 heures d'accoucher

Les autorités, qui ont réaffirmé leur "stricte neutralité" dans le conflit libye, n'ont pas justifié l'autorisation donnée d'entrée sur son territoire des quatre Kadhafi pas plus qu'elles n'ont précisé s'ils étaient entrés par voie aérienne ou terrestre, car les deux pays sont frontaliers. La fille de Kadhafi, Aïcha, serait à moins de 48 heures d'accoucher. 

Selon des sources locales citées par le patron du quotidien Ennahar, Anis Rahmani, une trentaine de personnes, dont dix "rescapés" non membres de la famille Kadhafi et grièvement blessés, ont pu passer la frontière en plein Sahel à l'extrême frontière sud de l'Algérie à hauteur de Djanet (plus de 2000 km au sud d'Alger).

 "Ils sont entrés en Algérie en catastrophe car ils étaient pourchassés" par les rebelles, selon les mêmes sources.

"Aïcha, la fille de Kadhafi, devrait accoucher aujourd'hui ou demain et a besoin de soins médicaux", selon ces sources. Le groupe devrait rester "quelque temps à Djanet (est)".

Convoi de Mercedes

L'information de la présence des membres du clan Kadhafi en Algérie a été rendue publique alors qu'une source rebelle libyenne, relayée par l'agence égyptienne Mena, avait affirmé la semaine dernière qu'un convoi de Mercedes blindées était entré en territoire algérien. Les autorités algériennes avaient alors catégoriquement démenti.

Lundi matin, le ministère algérien des Affaires étrangères avait publié un premier communiqué dans lequel il annonçait qu'une rencontre avait eu lieu en marge de la Ligue arabe entre le ministre Mourad Medelci et Mahmoud Jibril, à la demande de ce dernier

Des canaux de communication existent déjà, était-il souligné dans le communiqué, entre les deux parties alors qu'Alger n'a pas encore reconnu le CNT.

L'Algérie, qui affiche une position de "stricte neutralité" dans le conflit chez son voisin libyen, a été accusée par certains rebelles de soutenir le régime de Kadhafi.

Des rebelles à 30km de Syrte

Les rebelles, qui se sont fixé pour priorité l'arrestation de Mouammar Kadhafi et de ses fils pensent eux que l'ancien "Guide" a pu se réfugier à Syrte.

Les rebelles libyens se trouvaient dimanche à 30 kilomètres à l'ouest de Syrte, fief de Mouammar Kadhafi, dont ils se sont rapprochés à 100 kilomètres côté Est après avoir pris Ben Jawad, devant laquelle ils piétinaient depuis mardi, selon un important chef militaire rebelle.

A l'est, "nous avons pris Ben Jawad aujourd'hui", et à l'ouest, "les thowar (combattants révolutionnaires) de Misrata sont à 30 kilomètres de Syrte", a déclaré à l'AFP Mohammed al-Fortiya, commandant des combattants de Misrata, siège rebelle qui avait été assiégé pendant des mois par les forces pro-Kadhafi.

Syrte prise en étau, des négociations se déroulent en ce moment avec les leaders tribaux de Syrte en vue d'une reddition de la ville, selon diverses sources.

La priorité : arrêter Kadhafi

"Nous négocions avec les tribus pour que Syrte se rende pacifiquement", a confirmé M. al-Fortiya, précisant que les discussions n'impliquaient que les leaders tribaux et qu'à sa connaissance, aucun contact n'était établi avec Mouammar Kadhafi ou ses proches.

Mohamed, l'aîné, est un homme de réseau très discret. Hannibal, 33 ans, est surtout connu pour ses excès de comportement à l'origine d'une grave crise diplomatique entre Tripoli et Berne

Aïcha, l'avocate, avait déposé une plainte rejetée fin juin à Paris pour "assassinat" et "crimes de guerre" après la mort de quatre membres de sa famille, dont un de ses sept frères, lors d'un bombardement de l'Otan le 30 avril sur Tripoli.

Safia Farkash, mère de sept des huit enfants biologiques de Mouammar Kadhafi dont elle est la seconde épouse, est une femme discrète infirmière de métier, reconnue pour sa fortune et son influence considérables.

10.000 détenus libérés

En parallèle, plus de 10.000 détenus ont été libérés des prisons, mais près de 50.000 autres sont toujours manquants, a affirmé le porte-parole militaire de la rébellion.

"Le nombre de personnes arrêtées ces derniers mois (par le régime) est estimé entre 57.000 et 60.000", a déclaré le colonel Ahmed Omar Bani, au cours d'une conférence de presse à Benghazi (est).

"Entre 10.000 et 11.000 prisonniers ont été effectivement libérés" depuis la prise de Tripoli par les rebelles, mais "où sont les autres?", s'est-il interrogé, exprimant son inquiétude sur leur sort.






Dans la mémoire des bleus


Blanc, le choix désarme

                                                                                 


Lorsque Laurent Blanc prit ses fonctions de sélectionneur de l'équipe de France, il y a un peu plus d'un an, ce fut dans le contexte sportif difficile des lendemains du désastre de la Coupe du monde, mais dans des conditions "politiques" idéales. 


Son prédécesseur ayant été accablé de tous les torts, lui-même bénéficiait d'un consensus très large: paré de toutes les vertus, personne ne doutait qu'il allait prendre l'exact contrepied de Raymond Domenech, notamment au travers d'une communication transparente et de choix sportifs parfaitement justifiés (lire "Blanc presque transparent").

Même s'il ne s'agissait que de faire succéder une approbation illimitée à un véritable délire accusatoire, on ne pouvait que se féliciter de ce que le coach des Bleus allait pouvoir exercer son mandat dans une quiétude inédite depuis des années.


En dépit d'une défaite inaugurale en Norvège et d'un faux-pas à domicile contre la Biélorussie (sans oublier une attitude terriblement ambiguë dans l'affaire des quotas – lire "Amalgames Over"), la suite a confirmé ce cessez-le-feu, conforté par un retour (relatif) des ambitions dans le jeu et des résultats satisfaisants.
GÉOMÉTRIE VARIABLE
Pourtant, Laurent Blanc a été assez vite amené à contrevenir aux principes que lui-même avait définis, ainsi qu'à ceux qu'on lui avait prêtés
L'intransigeance à l'égard des bannis de Knysna a par exemple fait long feu, avec notamment le rappel de Patrice Évra lorsque la pénurie d'arrières gauches l'y a contraint, ou avec le brassard confié récemment à Éric Abidal.
On a également oublié qu'il fut initialement question de faire jouer les internationaux au même poste qu'en club. Or, on a vu Malouda prié de se conformer à un exil à droite plutôt incongru, Ribéry être affecté à la même zone, Ménez occasionnellement transféré à gauche ou encore Abidal rejoindre l'axe de la défense.
Ce devait aussi être "les meilleurs à leur poste", et les méformes individuelles étaient censées être rédhibitoires. Mais Blanc a maintenu une belle confiance à Yoann Gourcuff au cours de la saison précédente, ou encore à Alou Diarra et Guillaume Hoarau qui font partie de sa dernière liste des 24, alors que le premier reste sur une saison douteuse à tout point de vue et que le second est en perte de confiance et de performances
Exit la "forme du moment" aussi, semble-t-il, quand Blanc fait l'éloge de Valbuena, de retour de blessure, en invoquant son match contre la Bosnie... en septembre dernier et quand il continue inversement à mettre la pression sur Samir Nasri
Le sélectionneur est encore plus aventureux lorsqu'il justifie la non-sélection de Bafetimbi Gomis en affirmant qu'il n'était pas titulaire avec Lyon la saison passée (ce qui est largement faux) alors qu'il affiche une santé frappante au début de celle-ci.
JEU DE DUPES
Qu'on ne se méprenne pas : il ne s'agit pas de faire le procès de Blanc, mais simplement de rappeler que la justification  par tout sélectionneur de ses choix auprès des médias est un jeu de dupes. Il est simplement appelé à privilégier ici tel critère, là tel autre, d'accorder des préférences qui peuvent être purement techniques dans certains cas, beaucoup plus personnelles dans d'autres: options tactiques, contraintes circonstancielles dues aux absences, prime à certaines personnalités qui ne menacent pas l'esprit...
Il va être amené à transiger avec un ensemble de facteurs selon une géométrie très variable. Une liste n'est jamais un best-of, contrairement à ce que font mine de croire bien des commentateurs.
 Un sélectionneur fait des paris, comme Blanc l'an passé en titularisant Philippe Mexès et Karim Benzema, alors en disgrâce dans leurs clubs respectifs  privilège refusé pour de tout autres raisons à Jérémy Toulalan, pas même rappelé.

Lors de sa conférence de presse, Laurent Blanc a résumé les données du problème en admettant implicitement qu'il jouait à sa guise de ces divers critères:

"Le statut de certains joueurs en club est important pour moi. Mais je prends aussi en compte les performances des joueurs en club. La notion de groupe est devenue plus importante que les performances en club." Le statut, les performances, le groupe... faites le tri.
Quant à sa sincérité, elle doit s'accorder avec la nécessité de ne pas tout confier de ses motivations afin de préserver les ego, de ne pas prêter le flanc à des procès constants et de ne pas dévoiler toutes ses batteries
"Presque tous les entraîneurs renoncent à la sincérité de leur communication  pour se réfugier dans la langue de bois, le mutisme, le franc-parler sélectif ou les provocations  parce que cette sincérité les laisse à découvert si les choses tournent mal, et même avant qu'elles ne tournent mal", écrivait-on il y a un an presque jour pour jour. 
Laurent Blanc peut échapper aux critiques, il n'échappe pas à la règle. À l'arrivée, les observateurs patentés ne lui donneront tort ou raison que pour ses résultats, pas pour la logique apparente de ses choix ou de sa communication.







Samuel Eto’o élu président de la Fédération camerounaise de foot

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